Film n°1111: Jamais le premier soir

FILM n°1111                          JAMAIS LE 1^er SOIR                                                            

le 10/01/14                          Jamais la 2ème fois non plus ! › 

  FRANCE                            š                        

  Comédie

  BUXEROLLES – Méga CGR                                    

Histo:  Julie ne connaît pas le même succès en affaires qu’en amour. Larguée, elle se jette sur la « pensée positive » dont elle épluche les essais dans une librairie parisienne : c’est là qu’elle fera la rencontre de sa vie

de: M. Drigeard  

avec : A. Lamy ( Julie )–M. Doutey ( Louis )–J-P. Rouve ( Marc ) –J. Boissellier

violence :     un peu      - š    humour : un peu    - š   salle :  10% de la salle š -  tarif :5.30€ 

                                                      Côte d’amour : 3-

Commentaires:

Malgré la recherche de (psycho-)thérapies ( de groupe ou non ), les actrices affichent une forme communicative et toujours dynamique. C’est l’énergie de la passion du célibataire en perpétuelle recherche de sa moitié. Mais le célibataire esseulé ne peut se contenter d’être heureux dans cet état solitaire. Le marché des diseurs de bonne-aventure se porte alors très bien avec un pétillant bonhomme qu’incarne Michel Vuillermoz, assurant plus par dynamisme que par jouvence. A. Lamy nage comme un poisson dans l’eau, entre bonne humeur et conviction enjouée et autoritaire à la fois. Elle s’en donne à cœur joie et en pleine mesure de son talent. Cependant, l’entourage de l’héroïne, semble en marche forcée en ce sens que les comédiens en font un peu trop ( Vuillermoz par exemple ) ou pas assez ( Rouve trop souvent à faire la moue alors qu’il semble passer pour un tombeur ). Le Don Juan des rayons se trouve bien seul en tant qu’âme en peine de n’avoir pas encore pu trouver sa sœur ! Boissellier doit en venir même à casser ses propres glaces dans des scènes qui apparaissent amplement provoquées. Le pétage de câble doit se faire de façon plus soudaine, inédite et à contre-courant. Dans son numéro, les conditions se préparaient petit à petit. Certes, il fait office de beauf pourtant pourvu d’une enviable situation. Comme quoi la situation professionnelle ne présage pas du fabuleux destin amoureux. Rouve rafle les cœurs alors qu’il ne tient qu’une boutique avec une mine de chien battu. Les paradoxes sont intéressants, mais convenus et parigots !!!

Réalisation : 3-                        

Interprétation :    3+                       

Scénario :     3+

Dialogues :   4                         

Décor :         3                         

Affiche :       2+

Montage :    3                         

Photo :         3+                        

Son :            3

Costumes :   3-                        

Musique :      3-                       

Effets spéciaux : HC